Skip to main content

L'économie en questions | Émission du samedi 17 décembre 2011

Émission du samedi 17 décembre 2011 | écouter les archives

Sujet nº 1
Actualité française pour notre premier sujet ; du nouveau sur nos lignes, je parle de nos voies ferrés après la mise en service, lundi, du premier train Thello (Site officiel), propriété d’une compagnie italienne, un train de nuit, Paris/Venise au départ de la gare de l’Est. Cette même semaine assise du ferroviaire, jeudi, Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre des transports, à annoncer la préparation d’une loi autorisant dès 2014 les sociétés privées à installer des trains sur les lignes des trains régionaux. La SNCF (Site officiel) quant à elle, modifie ses horaires en vue d’une vaste modernisation de son réseau. Autant de raisons de nous interroger ce matin sur ce qu’il faut bien appeler une révolution à marche forcée. Certes les règles européennes contraignent l’ensemble des entreprises de service public à organiser cette ouverture. Nous verrons comment elles s’y plient, avec quels moyens, quelles résistances. Gaz de France (Site officiel) cette semaine encore en augmentant encore ses prix, a fortement irrité ses concurrents. Quelles conséquences sociales aussi la question du transfert des contras de travail est posée.

Sujet nº 2
Deuxième sujet ; relance, reprise, recul, comment vont les Etats-Unis ? Les nouvelles sont plutôt bonnes en provenance de la toujours première économie mondiale, les inscriptions au chômage, le chiffre vient d’être publié, sont à leur plus bas niveau depuis prêt de quatre ans. La reprise économique semble amorcée soutenue par la banque centrale (Site officiel), partisane d’une politique de relance mais une phase de croissance qui parait tout de même lente, fragile et vulnérable en tout cas aux répercutions de la crise européenne. Justement de ce côté-là les nuages s’amoncellent, prévisions de l’INSEE (Site officiel) sur une récession en France, menace de dégradation de leur note pour les plus grandes économies, France et Allemagne en tête. Nous verrons tout cela.

Invités